Bien sûr une recette que j’ai faite il y a deux mois. Mais ça vaut quand même la peine d’en parler. Pourquoi est-ce important ? Bien évidemment parce que la galette est une tradition en France, et que c’est une événement familial autour d’un gâteau. Ici, à moins d’acheter un gâteau très cher dans les beaux quartiers, pas moyen de trouver une galette. Bien sûr il y a des équivalents dans le sud vers New Orleans, mais le gâteau est différent et la tradition est aussi différente. Donc la seule solution c’était de faire le gâteau moi-même, avec l’aide de ma voisine qui aime bien faire la popotte aussi. La recette est du livre Lenôtre que Maman utilise depuis les annès 70’ et dont j’ai une copie. C’est un livre extraordinaire, dont les photos me rappellent une enfance douce et sucrée, remplie de crêpes, de gaufres et de gateaux basques. Les recettes y sont plutôt compliquées, mais infaillible et à chaque fois que je fais une recette de ce livre, j’ai l’impression, pour le temps d’un après-midi, d’être aussi exigeant, précis et authentique que lorsque Maman fait la cuisine.
C’était donc un bon moment de patisserie, c’était une bonne excuse pour rassembler des amis, et pour faire vivre une tradition qui sans ce gâteau à la délicieuse pâte d’amande, n’aurait pas de raison d’être.
Vous remarquerez que la couronne est faite maison, made by Alex et que la fève est un petit jouet en céramique acheté pour l’occasion.
Une fois la couche inferieure etalee, mettre la pate d'amande et ne pas oublier la feve
Mettre la deuxieme couche dessus et chiqueter sur les bords afin de souder les deux couches
Badigeonner de jaune d'oeuf sur le dessus et faire de jolis dessins avec l'arriere de la lame d'un couteau
Brigitte Bardot serait contente, personne n'a avale la feve par inadvertance
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